Safège : La motorisation du métro suspendu

[Scalpa]

L'ensembles des documents diffusés dans ce sujet le sont avec l'accord de la société SAFEGE.

Je vous propose ici de traiter de la motorisation du Safège.

Boggie1.JPG (187.11 Kio) Vu 7238 fois

Boggie2.JPG (88.93 Kio) Vu 7213 fois

Caractéristiques techniques :
Dimensions :
- Longueur : 4,33 m
- Largeur : 1,30 m
- Hauteur : 1,10 m

Pneumatiques :
- 4 pneumatiques verticaux MICHELIN 1200X20 gonflés à 9 kgs/cm2 d'azote.
- 4 pneumatiques horizontaux MICHELIN 600X9 gonflés à 9 kgs/cm2 d'azote.

Motorisation :
- 2 moteurs éléctriques de 100 CV chacun alimentés en 750 V continu
La prise de courant s'effectue à l'aide du petit pantographe situé sur le dessus de chaque boggie et le retour par le frottement de patins latéraux situés entre les roues porteuses.

[Joe]

GOOD

[Damien D.]

C'est mignion le micropanto ^^
Faut s'en inspirer pour faire un captage pour un aérotrain tout beau tout neuf.

Techniquement a l'époque y'avais quoi dans les metro pneu de Paris? Même matos?

[Scalpa]

Même matos non, mais le principe était en effet identique pour preuve la photo ci-dessous representant un boggie moteur ALSTHOM du métro sur pneus de Paris.
La ressemblance avec le boggie du métro suspendu est frappante.

Boggie moteur ALSTHOM

Boggiemetro.JPG (75.24 Kio) Vu 7101 fois

Voici la photo d'une motrice sur pneus du même métro.

Motrice sur pneus

Metro.JPG (109.69 Kio) Vu 7160 fois

[Damien D.]

Ha ouais c'est clairement repompé.
Encore un transfert de technologique qui tombe a l'eau...

[Scalpa]

J'ai ici essayé de représenter à l'échelle un boggie à l'intèrieur de la poutre-caisson.

coupe voie et boggie1.JPG (65.8 Kio) Vu 7117 fois

Merci pour votre indulgence.

[Damien D.]

Non non c'est vachement bien ^^

C'était bien tassé tout ca.
Hé tiens, je me demande comment ils faisaient (ou comment font les japonais qui ont repris le concept) pour mettre les machines sur les rails?!

[pjskyman]

T'enfournes à un bout et hop !

[Damien D.]

Moui c'est basique mais ca marche.

[cyril]

pourquoi faire compliqué quant on peut faire simple